Ou plus connu comme une série d'ouvrage que les prophètes de Sanctum publient, "les tomes des passés et à venir", ces livres sont accessibles par tous et contiennent les visions des Daevas atteints du dons de vision.
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La femme gît dans les ténèbres entrecoupés de segments gris et froids.
Sèches est sa parure de sol.
Triste est la rivière qui assèche ses yeux.
Mais vivant est son petit familier.
- annotations:
L'identité de la personne n'a pas été trouvée.
le monde est de cire ; il fond, se laisse corrompre par la crasse du subconscient. Ses teintes tournent, et le ciel fut.
Le désert là, le désert au loin. Le désert partout.
Je devient Elle. Sa prose devient destruction.
Décapitée se retrouve le monolithe ocre. Mais grâce à Je, effondrée devient la porte.
- annotations:
Le prophète nous affirme que la scène change ici. Le désert mentionné semble être celui de Théobomos. Quand à la femme qui parle, nous sommes sûre qu'il s'agit d'une puissante mage qui commande à la destruction d'un portail au sommeil d'une montagne.
Éclatement, explosion, acouphène.
C'est l'autorité qui hurle le mouvement en avant.
D'ébène est la parure qui guide la vague.
D'anonymat son vêtus ceux qui la suivent.
- annotations:
Suite à l'explosion du portail, les troupes Élyséennes chargent fièrement dans l'optique d'une victoire décisive.
Silence. Vide. Pas la mort, mais la non-vie, la non existence.
L'encre coule, dressant une tableau noir et vierge.
Des formes se découpent. Le grenier d'Elyséa est mort. MORT. MORT. MORT.
Et quant à celle qui gît encore dans les ténèbres,
Ses yeux sont noirs. Morts. MORTS. MORTS.
Sont âme est noirs. Morte. MORTE.
Mais elle avance encore. MORTE.
- annotations:
La scène change de nouveau ici. Nous vous rassurons, le terme "Grenier d'Elyséea" définit non pas à Poéta, mais à Asmodée puisque celle-ci est géographiquement situé au dessus de nous. Ainsi, nous pensons que cette jeune femme inconnue pourrait aide à la mort de nos ennemis !
L'encre sèche, se craque, tombe, révèle un rouge sang.
Le filtre perd en opacité, et révèle la ville des ailes-roses. Feu, ruine. Sang, mort.
Les âmes survivantes s'enfuient. La femme parle à Je, mais Ils Nous empêchent d'entendre.
- annotations:
Nouvelle scène, simple référence aux récents événements à Kamar.
Et s'en va la vérité, si loin qu'aucune main ne peut plus l'atteindre.
- annotations:
Le prophète à cessé de voir à cet instant.